L'avenir écologique de la planète

À l'ère de la technologie numérique, la nature n'a plus la même résonance. En effet, le déploiement de la science a fait de cet espace mystérieux pour nos lointains ancêtres, un lieu normé, quadrillé, balisé, connu et reconnu. De plus, l'extension des villes a changé la donne : en 2020, la moitié des habitants de la planète vivront en zone urbaine. Donc d'une entité englobante, la nature s'est vue restreinte à des espaces circonscrits et délimités (réserves, « sanctuaires naturels », espaces protégés, etc.).

Aujourd'hui, notre rapport à la nature n'est plus global, il est devenu ponctuel et parcellaire. Nous prenons alors conscience d'un paradoxe de la technologie : nous éloigne-t-elle ou nous rapproche-t-elle de la nature ?

Les nouvelles technologies mettent en question la sociabilité : elles rendent les hommes toujours plus proches mais sans susciter de contact physique. En fait, elles simplifient l'existence et améliorent notre qualité de vie tout en nous éloignant des formes fondamentales et physiques (rythmes et cycles naturels, par exemple) et en creusant le fossé entre l'homme et le monde matériel. C'est évident : l'ère de la technologie pose avec acuité la question du lien entre l'homme et le milieu naturel. A ce sujet, Astucepratique.com nous donne des conseils pour vivre avec notre temps, mais dans le respect de la planète.

Cette tendance est en progression et concerne toutes les classes d'âge, les jeunes bien sûr, mais aussi les plus de 65 ans : plus de la moitié d'entre eux manifestent cette aspiration. Il demeure des activités inégalement prisées : la pêche et la chasse sont en déclin ; le jardinage, les activités de détente, la randonnée sont en nette progression ; les sports extrêmes, eux, sont en plein développement. Quand aux énergies renouvelables, seules les plus jeunes générations semblent y attacher du crédit. Une prise de conscience rapide est toutefois nécessaire, car, comme le rappelle le site www.grands-mamans.com, la Terre ne nous appartient pas, c'est aux générations futures et à toutes les formes de vie sur la planète qu'elle appartient. La phase d'action est urgente, de la part de tous les acteurs privés et publics, dans tous les grands pays du monde.